Le calme pesait lourdement dans l’horlogerie abandonnée, seulement géné par le tic-tac tourmenté des horloges accrochées aux murs. Étienne avançait mollement entre les étagères recouvertes de poussière, observant chaque cadran, chaque engrenage figé ou en mouvement. Ici, le temps ne suivait plus une seule direction. Il se fragmentait, s’étirait, se https://davidz924nqr9.blogscribble.com/profile