Dans la moiteur étouffante du matin, les premières pirogues glissaient sur les transitaires de Makoko tels que des esprits silencieux. Le quartier, suspendu entre oeil et lagune, vibrait d’une envie dense et souterraine. Abeni, elle, restait stable marqué par sa toile, les yeux rivés sur sa coloquinte. Chaque matin, premier https://meilleur-voyance-gratuite09741.isblog.net/le-marché-des-parole-51176050