À poésie que les marées se succédaient, le rythme du rocher changeait imperceptiblement. Ce qui n’était au début qu’un battement soigné devenait un nombre de pulsations asymétriques, notamment si le rocher répondait à une acception intérieure plus qu’aux progressions de l’océan. Le musicien enregistrait tout session avec une précision impénétrable, https://manuelnhrza.bloggazzo.com/33263850/le-rythme-temporisé