Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre rond en plein coeur de son manufacture. Elle y jetait les extraits de cuivre en calme, laissant les vouloirs danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un automatisme. C’était une aspiration lente, une tic débarquée d’un geste traditionnel répété continuellement. https://rowanakptv.wikilinksnews.com/5962866/la_matière_qui_répond