Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre courbe au milieu de son atelier. Elle y jetait les fragments de cuivre en silence, laissant les ambitions danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un routine. C’était une inhalation lente, une mÅ“urs née d’un fait traditionnel répété sans fin. https://alexisclqtu.popup-blog.com/33291480/les-contours-calmés